Ce vendeur de cigarettes ambulant s’était immolé par le feu mardi matin sur l’avenue Habib-Bourguiba, en plein centre de Tunis, en hurlant “voilà la jeunesse qui vend des cigarettes, voilà le chômage”.
La pauvreté et le chômage étaient au cœur des causes du soulèvement qui a renversé le régime de Ben Ali, or deux ans après l’économie tunisienne est toujours anémique tandis que le pays est paralysé par une crise politique.
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